Ovat Zerit, ancien Grand Prêtre du Temple du Nuage de Laelith, père fondateur de la Théologie de la Libération, n’est plu ! Il dirigea dans sa jeunesse, comme tous les Grands Prêtres du Nuage avant et après lui, le cénacle des Équités en charge de la Justice. Sa sensibilité envers les plus pauvres et démunis, l’a poussé à faire pression sur les Trois autres Grands Prêtres et le Roi-Dieu lui-même pour leur venir en aide pour améliorer leur santé, leurs logements, leur alimentation et surtout leur instruction. Il est à l’origine du mouvement nommé Théologie de la Libération. Il y décrit une pensée fondée sur la solidarité avec les plus pauvres, la justice sociale, la paix dans le monde et la dignité humaine (et de toutes les espèces y compris les magiciens souvent très malaimés dans la Cité Sainte, encore de nos jours). Elle se veut donc un « cri » prophétique pour plus de justice et pour un engagement en faveur d’un « Règne de Dieu » commençant déjà sur terre et en particulier à Laelith. Sa théorie permit un bannissement des lois esclavagistes de la Cité Sainte ainsi qu’un grand apaisement social avec l’érudition de toute la société laelithienne notamment les plus démunis.
Ah non… c’est la vraie vie… avec le décès du péruvien Gustavo Gutiérrez auteur d’un livre: la Théologie de la Libération en 1972, qui devient un fort courant philosophique dans toute l’Amérique Latine et dans le monde. Courant dans lequel j’ai baigné par le biais de mes parents sous la dictature militaire argentine et grâce auquel je connais des hommes et des femmes qui vivent leur foi (et pas seulement les dimanches matins à la messe (ou je ne vais pas)). La théologie de la libération dépasse le point de vue que les pauvres sont des modèles et des objets de compassion et de charité, et propose non seulement de soulager les pauvres de leur pauvreté, mais aussi d’en faire les acteurs de leur propre libération. Elle soutient qu’il existe, à côté du péché personnel, un péché collectif et structurel, c’est-à-dire un aménagement de la société et de l’économie qui cause la souffrance d’innombrables « frères et sœurs humains ». Cette vision de la religion prend le contre-pied des conceptions, notamment marxistes, qui condamnent la religion à l’époque moderne comme instrument d’aliénation, car dans ce mouvement les gens vivent leur foi. Quelque chose qui manque souvent de nos jours où la norme serait plus à faites ce que je dis mais pas ce que je fais… Une citation, qui je trouve, colle parfaitement à cette philosophie qu’est la Théologie de la Libération: quand on ne vit pas comme on pense, on finit par penser comme on vit ! Gracias Gustavo por tu luz y sobretodo tu ejemplo ! :O <3
Source et bioagraphie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gustavo_Guti%C3%A9rrez_Merino
Source sur La théologie de la Lebération: https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ologie_de_la_lib%C3%A9ration